Mes recherches

Je me suis lancé dans la généalogie il y a plusieurs années sans savoir que cela allait devenir une « drogue ». Dans ce genre d’activité, on sait quand on commence mais on se rend compte que cela ne finit jamais. Surtout que j’ai été assez présomptueux, car je ne me suis pas limité à ma généalogie, mais j’ai fait des recherches sur le patronyme CORMON et CORMONT dans tous les départements métropolitains mais aussi en Belgique où j’ai trouvé de nombreuses personnes portant ce patronyme. Une fois en possession de toutes ces données qui étaient éparpillées dans de nombreuses petites branches, j’ai essayé de les rejoindre en remontant dans le temps.

Cela a été et c’est toujours une activité importante car, avec la publication des registres d’état-civil sur Internet, cela m’a permis , de chez moi, d’aller faire des recherches sur de nombreux départements sans avoir à me déplacer dans les Archives Départementales, ce qui est essentiel pourtant.

Je me suis donc lancé il y a de cela quelques années sans me rendre compte où cela allait m’entraîner. En effet, au lieu de me limiter à mon ascendance, je me suis plongé dans les Pages Blanches des abonnés au téléphone, ai relevé toutes les personnes qui portaient le patronyme CORMON ou CORMONT et leur ai envoyé un courrier avec une fiche jointe pour réponse. J’ai ainsi envoyé plus de 300 lettres. La déception a été grande au vu des réponses : à peu près une réponse sur vingt lettres envoyées. J’ai décidé tout de même de continuer, d’essayer de regrouper les renseignements recueillis pour mettre en forme des branches et mettre en relation des personnes qui s’étaient perdues de vue ou des cousins qui s’ignoraient. Enfin avec ces renseignements collectés m’adresser aux communes pour essayer d’aller plus loin dans le temps. Un travail colossal.

Où en suis-je aujourd’hui ? J’ai actuellement répertorié une quinzaine de branches plus ou moins importantes sur ce patronyme en France, en Belgique et je souhaiterais aller plus loin dans mes recherches.

Ce site contient une grande partie de mes recherches généalogiques, mais aussi quelques textes correspondant à des sites qui m’ont intéressé, des biographies modestes sur deux personnes qui font partie de deux généalogies qui n’ont rien voir POUR L’INSTANT j’espère avec la mienne. J’ai mis en ligne également le livre que j’ai écrit sur ma famille et sur ma vie et enfin quelques souvenirs personnels.

J’ai choisi de présenter les différentes généalogies sur lesquelles j’ai « travaillé » par département. Des spécialistes m’avaient conseillé de les regrouper toutes ensemble et d’en faire qu’une, mais j’ai préféré les classer par département pour une recherche plus rapide et je continue toujours à rechercher des personnes ayant ce patronyme CORMON (T) (D), en espérant retrouver des personnes qui me permettraient de relier une ou deux branches.

Si vous pouvez m’aider, n’hésitez pas à me contacter.

Le premier article concernant l’histoire du Monastère de Saint-Projet me tient particulièrement à cœur.

Ce Monastère comme vous le lirez est un monastère qui était situé sur la commune de Neuvic ( 19) sur les bords

de la Dordogne avant la construction du barrage de l’Aigle sur la Dordogne.

Il a été construit en 1489 et abritait un certain nombre de moines qui y vécurent jusqu’en 1792.

En 1790, après le vote de la Constitution Civile du Clergé, la vente du Couvent a lieu le 18 juillet 1790 à Neuvic.

Les bâtiments furent adjugés et le tout fut acquis quelques habitants du Cent-Bas, hameau dont faisait partie le Monastère.

Vois lirez la suite de cette histoire extraordinaire dans l’article ci-dessous  » Le monastère de Sain-Projet du Désert. ( toujours en cours d’élaboration)

Le second article raconte l’histoire de l’Abbaye de RIEUNETTE. Je l’ai découverte quand j’étais gamin. Mon père était boulanger dans un petit village de l’Aude, SAINT-HILAIRE, situé entre LIMOUX et CARCASSONNE.

Quelques biographies

Ces notes biographiques concernent des personnes qui se trouvent dans certaines de mes généalogies, pour l’instant. Je vous invite, si vous avez des éléments complémentaires à me communiquer, à le faire via le formulaire de contact accessible en cliquant ici.

Parallèlement, plus récemment, j’ai choisi de commencer à écrire, peu-à-peu, pour de multiples raisons, d’autres types de contenus. Cette « seconde partie » sera consacrée à quelques évènements importants de ma vie et qui concernera plusieurs activités qui ont été les miennes: sports, chant, syndicalisme, politique, etc.

Un autre récit en forme de livre

Lorsque j’ai commencé des recherches généalogiques sur le patronyme CORMON, il y a une trentaine d’années, je ne m’imaginais pas qu’un jour, je serais à même de rassembler tous les renseignements trouvés dans un livre que j’aurais rédigé. Il y avait longtemps, certes, que j’avais envie d’écrire; mais je n’arrivais pas à m’astreindre à cet exercice : j’écrivais quelques pages et puis j’abandonnais. Mais depuis quelque temps, je m’interrogeais sur la suite à donner à ces recherches : beaucoup d’archives, mais quoi en faire ?

Pour mes 80 ans, nous avons réussi le tour de force assez exceptionnel de réunir autour de la table mon fils Jean, mon petit-fils Balthazar, mon épouse Françoise, ses deux filles, Nathalie et Sophie avec son compagnon Jean-François, et leurs enfants : Léo et Charlotte, Hugo et Camille. Ce fût un moment d’une intense émotion que je n’avais pas connue depuis fort longtemps.

Le lendemain, au vu de l’intérêt porté par les enfants aux anecdotes que je leur racontais sur ma vie, je me suis décidé à écrire cette histoire : celle de ma famille, mais aussi la mienne. Je voulais leur laisser une trace écrite à laquelle ils pourraient, s’ils le désiraient, se reporter plus tard, lorsque je ne serai plus là.

Je décidais donc de mettre en œuvre ce projet qui me paraissait démesuré. J’avais trouvé une raison pour le réaliser : l’intérêt que pourrait y porter, peut-être, les petits-enfants. Je pensais surtout à Balthazar, qui se trouve être pour l’instant le dernier garçon CORMON de cette lignée, mais je me disais aussi que les autres petits-enfants de Françoise pourraient y retrouver des souvenirs.